Lencería fina. Source d´image |
Née en France, mais vivant en Espagne depuis de nombreuses années, Dominique Vernay Juillet découvre bien vite le plaisir de pouvoir jouer avec les mots de la langue de Molière et de celle de Cervantes. Dans la nouvelle courte "Lencería fina" "Lingerie fine" elle reprend une idée qui lui est chère, à savoir que la phrase "je le/la connais comme si je l'avais fait/e" ne repose que sur une illusion. Le regard que nous portons sur les autres est à tel point faussé par tant d'idées préconçues, qu'il nous est impossible de nous rendre à l'évidence que les choses ne sont pas forcément comme nous le croyions et cela... même avec, sous les yeux, la preuve du délit.